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Qu’est ce que le sex lifting

Le Docteur Smarrito est l’inventeur du sex lifting, méthode permettant de corriger un excès de petites lèvres, de repulper les grandes lèvres et de restaurer une anatomie normale au niveau de l’orifice vaginal.

Le Docteur Smarrito a amélioré les techniques de nymphoplastie avec la mise au point de la nymphoplastie laser pour lequel il a plus de dix ans d’expérience et plus de cinq cent cas opérés.

Le sex lifting améliorerait la sexualité féminine… et masculine !

Alors que la chirurgie intime était plutôt axée sur le caractère réparateur, une étude publiée dans Plast. Reconstr. Surg. indique que 37% des femmes se présentant en consultation pour une nymphoplastie présentaient des dyspareunies, c’est à dire des gênes et des douleurs lors des rapports sexuels.

Nous avons pu interroger les patientes sur leur activité sexuelle, grâce à des questionnaires pré-établis. Nous nous sommes rendu compte que l’opération de sex lifting améliore des aspects de la sexualité féminine comme les sensations clitoridiennes, les sensations au niveau de l’orifice vaginal, le confort lors des rapports et une certaine libération des pratiques.

Fait plus étonnant, l’opération améliore aussi les sensations masculines. Il est probable que le fait d’opérer des petites lèvres ou un vagin distendu, permet de renforcer la tonicité et donc les sensations de l’homme. Ce point est assez important car dans la plupart des cas, la demande émane des femmes avec un partenaire qui ne comprend pas bien l’intérêt de faire l’intervention.

La sexualité féminine est beaucoup plus complexe, d’après les sexologues, que la sexualité masculine. Beaucoup de paramètres entrent en compte et donc, il ne faut pas sous-estimer l’aspect psychologique de se sentir bien et à l’aise avec son anatomie.

Pour toute information sur la chirurgie intime, vous pouvez vous référer au site www.nymphoplastie.ch ou accéder à notre rubrique dédiée à la chirurgie intime.

Référence 

Lambda laser nymphoplasty: retrospective study of 231 cases. Smarrito S. Plast Reconstr Surg. 2014 Feb;133(2):231e-2e.